La défenseuse des droits humains a été libérée de la prison d’Evin le 11 juin 2025. La défenseuse a purgé une peine de deux ans de prison pour avoir « insulté le leader suprême ».
Le 5 mai 2025, les autorités biélorusses ont ajouté la page Instagram Let Nasta Go (@let_nasta_go) à la Liste républicaine des contenus extrémistes. Cette page est dédiée au partage d’informations concernant la défenseuse des droits humains biélorusse Nasta Loika, qui purge sa peine dans la colonie pénitentiaire n° 4 de Homel, en Biélorussie. La page est gérée par les collègues et amis de Nasta Loika.
Le 5 septembre 2024, la défenseuse des droits humains Hortensia Telésforo Jiménez a été agressée verbalement lors d’une manifestation aux côtés de membres de la communauté autochtone de San Gregorio Atlapulco, située dans le district de Xochimilco à Mexico (CDMX). La manifestation a été organisée pour soutenir la défenseuse des droits humains qui avait été convoquée à une audience devant le parquet concernant une potentielle affaire de criminalisation à son encontre.
Le 1er septembre 2024, les défenseur⸱ses des droits humains algériens Kamira Nait Sid et Slimane Bouhafs ont été libérés de prison.
Le 1er septembre 2024, les défenseur⸱ses des droits humains algériens Kamira Nait Sid et Slimane Bouhafs ont été libérés de prison.
Le 12 juillet 2024, le parquet général du Kirghizstan a déposé un second recours contre la décision rendue le 14 juin par le tribunal du district de Pervomaiskyi dans l’affaire Kempir-Abad.
Le 14 juin 2024, le tribunal du district de Pervomaiskyi à Bichkek, au Kirghizstan, a entièrement acquitté les défenseuses des droits humains Klara Sooronkulova, Rita Karasartova, Gulnara Dzhurabayeva et Asya Sasykbayeva. Les défenseuses resteront assignées à résidence jusqu’à l’entrée en vigueur de la décision, le 14 juillet 2024.
Le 21 novembre 2023, le tribunal du district de Khatai à Bakou a placé le défenseur des droits humains et journaliste Ulvi Hasanli, et la défenseuse et journaliste Sevinc Vaqifqizi, en détention provisoire pour 4 mois. Les défenseur⸱ses des droits humains (DDH) font l’objet d’une enquête pour « complot en vue d’introduire illégalement de l’argent dans le pays », une infraction pénale en vertu de l’article 206.3.2 du Code pénal de la République d’Azerbaïdjan. S’ils sont accusés, ils risquent jusqu’à huit ans de prison.
Le 23 octobre 2023, le tribunal de la ville de Tbilissi a publié une justification concernant son jugement à l’encontre du défenseur des droits humains et avocat Eduard Marikashvili à propos de sa participation à une manifestation publique pacifique le 2 juin 2023.
Le 11 octobre 2023, la défenseure des droits humains et journaliste Samira Sabou a été provisoirement libérée de prison. Elle a été détenue au secret par la police judiciaire pendant 8 jours, du 30 septembre au 7 octobre, date à laquelle sa localisation fut finalement révélée. Le 11 octobre 2023, Samira Sabou a été présentée devant le juge pour avoir fourni des “renseignements à une puissance étrangère” ainsi que pour “diffusion de données de nature à troubler l’ordre public”.
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